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Clara Von Oberbayern [Terminé]

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Clara Von Oberbayern
Clara Von Oberbayern

Messages : 33
Réputation : 4770
Date d'inscription : 12/09/2013

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MessageSujet: Clara Von Oberbayern [Terminé] Clara Von Oberbayern [Terminé] EmptyJeu 12 Sep - 2:47

 
citation ou une phrase au choix


 
NOM - PRENOM

 
Carte d'identité


 

Nom (s): Von Oberbayern
 
Prénom (s):Clara
 
Age: 18 ans
 
Date et lieu de naissance: 14 juin en Bavière
 
Rang souhaité: Duchesse
 
Nation représentée: Le Saint Empire Romain Germanique
 
Personnage sur votre avatar: C'est une œuvre tirée de la gallerie de PhoenixLu sur Deviant Art
 
Parrain: Personne, je suis une ancienne qui est retombée dessus par un drôle de hasard!

 

 

 
Physique


 

Son physique est un détail très sensible chez Clara, tellement sensible qu’elle refuse d’en parler. Elle est persuadée qu’elle est moche. Elle y croit tellement qu’on a juste une envie, la frapper, car elle est réellement très jolie. Elle attire bien des regards, mais Clara ne semble pas s’en rendre compte. Son malaise face à la gent masculine la pousse à se tenir loin d’eux. Ainsi, elle n’entend pas les commentaires sur sa beauté ni ne voit la lueur appréciatrice qui peut briller dans leurs yeux.

La première chose qui frappe chez elle est sans aucun doute son regard. Ses yeux sont d’une beauté frappante, ambrés comme ceux d’un oiseau de proie. Son père lui a déjà dit qu’elle avait les mêmes yeux que les aigles qu’il avait vus à la cour de l’empereur germanique. Ils sont à la fois aussi vifs que ceux du faucon qui observe du haut des cieux et aussi doux que ceux d’une biche devant l’arme du chasseur. De plus, ils sont bordés de longs cils charbons qui touchent ses pommettes lorsqu’elle ferme les paupières. Ils projettent une ombre dans son regard qui lui donne un air à la fois mystérieux et fragile. Miroir de son âme, les émotions y défilent sans cesse. C’est cette faiblesse qui fait qu’elle peut difficilement mentir. Avec un peu d’entraînement, on peut aisément lire en elle comme dans un livre ouvert. Bon, tout ça, c’est si on réussit à la regarder dans les yeux, car la jeune fille a tendance à fixer le plancher ou à se cacher derrière son éventail de dentelle, le seul qui lui permet de voir un peu au travers en cas de fuites précipitées. Oui, Livia a parfois des comportements étranges. Ça fait partie de son charme…

À ses yeux s’ajoute sa bouche, étroite, ourlée de lèvres carmines et sensuelles qui expriment continuellement un sourire espiègle. De fait, elle sourit rarement franchement, sauf lorsqu’elle éclate de rire. Alors Clara dévoile
Des dents droites et blanches. Son sourire tout comme son rire cristallin sont contagieux. Elle dégage un charme fou, mais elle ne s’en rend pas compte. Certaines personnes sont nées naturellement fortes, d’autres ont une intelligence hors du commun et d’autres sont charismatiques comme Clara. C’est peut-être une chance en fait qu’elle ne le réalise pas. Si elle en avait conscience, Clara serait redoutable. En même temps, la jeune fille a un trop bon fond pour commencer à manipuler les gens à sa guise.

Son visage est ravissant avec un teint parfait. Elle a hérité de la beauté et de la grâce de sa mère. Elle a les traits fins, des pommettes hautes et un menton pointu. Son cou est long, mais pas trop. Juste assez pour être élégant et gracieux. Son visage ovale est entouré d’une abondante chevelure noire tombant jusqu’au milieu de son dos qui lui donne des airs de Blanche-Neige à cause de sa peau pâle. Toutefois, les codes de l’époque l’obligent à garder sa chevelure soigneusement attachée et, de préférence, aussi cacher sous un bonnet ou une coiffe. Lorsqu’elle les porte librement sur ses épaules, ça lui donne un air plus jeune, plus enfantin, mais aussi, plus sauvage. Parfois, une mèche de cheveux s’échappe de son bonnet. Au lieu de la replacer, Clara joue avec, l’entortillant autour de ses doigts. Son père a bien essayé de corriger cette manie, mais rien à faire.

Clara est petite, légère comme une plume et aussi délicate qu’un camélia. Autant dire qu’elle n’est pas faite pour de durs labeurs. La paume de ses mains est si tendre qu’elle se blesserait avec un rien. En même temps, Clara, en envisageant d’entrer dans les ordres, ne craignait pas mener une vie de privations et de durs labeurs. Bon, peut-être qu’elle n’est pas prête à se mettre les mains dans le fumier, mais elle est surement capable de s’adapter en cas de problème.

Sa taille est l’un de ses complexes. Parce qu’elle est petite, elle n’a presque pas de poitrine. Elle a côtoyé des femmes plantureuses, même sa mère est plutôt bien pourvue alors que Clara… Pourtant, ce n’est pas si mal. Elle a deux petits seins qui sont parfaitement en accord avec sa silhouette. De plus, lorsqu’elle met un corset, l’illusion est parfaite. Il comprime sa poitrine donnant l’impression que ses seins vont en jaillir, mais c’est lorsqu’elle l’enlève que ça lui pose problème. Elle n’aime tout simplement pas se voir nu et il celui qui sera son époux devra user de beaucoup de patience et de tendresse pour la convaincre de retirer sa chemise de nuit.

Outre le bonnet, les standards de l’époque l’obligent à porter le corset, surtout dans les occasions mondaines où il est particulièrement contraignant. Non seulement il comprime sa poitrine au point qu’elle risque d’en jaillir au moindre faux mouvement, mais il affine aussi sa taille au point de créer des courbes totalement imaginaires. Clara n’a pas des formes plantureuses. Son bassin est relativement étroit et sa poitrine plutôt menue. Heureusement, l’illusion lui permet de porter de jolies robes. Comme toutes les femmes, elle adore les vêtements et les tissus luxueux. Son père n’a jamais rechigné à lui acheter une robe. Sa fille est son joyau, autant la mettre en valeur dans les plus beaux écrins! Elle aime les tissus aux motifs complexes et floraux. Dans la vie de tous les jours, elle porte des robes aux teintes claires qui illuminent son teint. Durant les soirées, elle ose un peu plus en se tournant vers des teintes plus foncées et clinquantes. Le rouge lui va aussi très bien, donnant plus de couleur à ses joues. Un jour, son habilleuse l’avait convaincu d’en porter une, simplement pour voir. L’effet avait été instantané, tous les regards se sont tournés vers elle au point qu’elle retourna se changer immédiatement. Cette couleur est beaucoup trop provocatrice pour elle!

Le corset la force à toujours se ternir droite. Évidemment, elle ne porte pas toujours le plus contraignant, mais même dans la vie de tous les jours, Clara est obligée d’en porter un plus léger pour sa posture, mais aussi parce que c’est plus joli. Sa démarche en est même affectée. Marcher trop vite risquerait de lui faire tourner de l’œil même si on s’habitue avec le temps. Clara à une démarche légère qu’on pourrait qualifié de glissante aussi. Elle fait de petits pas. Avec ses grandes jupes, Clara donne l’impression de glisser sur le sol. Seul le bruit de ses talons rappelle qu’elle a bien les pieds sur le sol!


Pour conclure cet description interminable, Clara a une petite tache de naissance juste sous sa fesse gauche un grain de beauté sur sa hanche. Elle a aussi une cicatrice sur le genou droit. Elle s’est blessée dans un des escaliers alors qu’elle avait 10 ans. En tombant, son genou s’est ouvert sur les marches de pierre. Beaucoup de larmes et beaucoup de sang ont été versés ce jour-là!

 
Caractère


 

Décrire en détail la psychologie d’un être humain et une tâche complexe et presque impossible à faire. Doté de l’extraordinaire capacité de raisonnement, l’humain est, de par sa nature même, un être totalement imprévisible, capable du meilleur comme du pire. Dans cette immense masse grouillante, il y a une jeune fille, Clara. Elle est bien de son temps. Élevée dans un monde où les femmes n’ont rien d'autre que le titre hérité de leur père, elle ne peut même pas réellement en jouir. Il ne lui sert qu’à trouver un époux de rang égal ou, de préférence, plus élevé. Bien entendu, cet époux, jamais elle ne l’aimera. Au mieux, elle n’éprouvera qu’une certaine affection, rien de plus.

Clara est le joyau de sa famille. Elle est la fille unique D’Hendrike Von Oberbayern et d’Eleanor, sa chère et tendre épouse. Cette dernière a bien eu un fils avant Clara, mais le garçonnet mourut en bas âge comme c’était trop fréquent à cette époque ou l’hygiène et la conception de la maladie étaient largement lacunaires. Par conséquent, la famille plaça tous ses espoirs sur la jeune fille tout en vivant dans l’angoisse permanente que la mort l’emporte prématurément elle aussi. Évidemment, cette situation engendre une pression difficile à porter. La jeune femme se sent déchirée entre son sens du devoir et l’envie, plus égoïste et romanesque, de réaliser sa propre destinée.

La religion occupa très tôt une place très importante dans la vie de la jeune femme. Elle fut placée à un jeune âge dans un couvent pour y apprendre tout ce qu’il faut savoir affin d’être une parfaite femme mariée tout en étant protégé du monde extérieur et de ses menaces. Elle aimait l’ambiance austère et calme du couvent au point qu’elle songea sérieusement à embrasser la vocation de religieuse. Elle n’avait aucun mal à s’imaginer vouer sa vie aux pauvres et a Dieu. Les richesses de sa famille lui semblaient d’une telle futilité en pensant à tous ces gens qui n’ont presque rien à manger. De plus, cette vie est beaucoup plus gratifiante que de jouer aux plantes vertes aux côtés d’un mari qui ne la verra pas simplement comme un accessoire qui respire. Sans parler qu’elle a tellement de mal dans les réceptions mondaines avec tous ces gens qui caquettent autant que les poules dans un poulailler. Malheureusement, son père s’opposa catégoriquement à cette idée. Elle était son unique héritière et il était hors de question qu’elle s’unisse à un Dieu qui ne lui donnera pas un petit fils! Il avait besoin d’un héritier et c’est sa fille qui allait lui donner.

Ce refus bouleversa profondément Clara qui refusa catégoriquement de se nourrir pendant trois jours. Il se trouva qu’elle avait hérité du tempérament obstiné de son père et qu’elle n’avait pas peur de le confronter, consciente qu’elle était le joyau unique de cet homme. On peut y voir là une certaine forme de manipulation, mais qui ne serait pas prêt à tout pour atteindre son rêve? Là-dessus, Clara peut se montrer déroutante. D’ordinaire, elle n’élève jamais la voix et obéit sans discuter, mais parfois, elle se braque et fait preuve d’une détermination qui frôle l’obstination. Si elle avait un peu plus confiance en elle, sans doute ferait-elle des vagues. Au bout de quelques jours, n’ayant aucunement envie de mourir, elle consentit enfin à avaler quelque chose. Elle ne devait jamais retourner au couvent. Il était temps pour elle de devenir une femme du monde.

Aujourd’hui, elle est tributaire d’une éducation rigoureuse dont elle est très fière. En plus de l’allemand, elle sait parler l’anglais et le français, essentiels pour tenir des conversations lors des réceptions mondaines. Elle a oublié ses envies de devenir une sœur, mais elle reste profondément croyante, fréquentant l’église toutes les semaines. De plus, Clara ne néglige pas les œuvres charitables, faisant des dons généreux chaque fois qu’elle peut. La jeune fille est très sensible au monde qui l’entoure. Elle porte toujours une petite croix accrochée à son cou et cachée sous ses vêtements. La sentir contre sa peau la rassure et lui donne une force nouvelle.

En public, Clara est discrète et ne cherche guère à s’imposer. Cependant, elle a un redoutable sens de l’observation et très peu de choses lui échappent. Pour elle, les comportements humains sont terriblement divertissants, surtout entre les nobles. Elle est à la fois fascinée et dégoutée par la facilité qu’ont certaines personnes à mentir et à manipuler les autres. Lors des réceptions, elle préfère écouter distraitement les conversations des autres plutôt que d’y participer. Elle est une bonne conseillère et une oreille attentive pour ses « amies » qui ne cessent de se plaindre. On admire son détachement qui lui permet d’analyser une situation d’un point de vue extérieur sans s’émouvoir inutilement. En même temps, Clara n’a jamais été vraiment confrontée aux dures réalités de la vie. Son père l’a longtemps couvé comme un petit poussin. Dieu seul sait comment elle réagira lorsqu’elle sera laissée à elle-même. Toute l’éducation du monde ne peut pas préparer à tout.

Sur un plan un peu plus personnel, Clara craint les hommes. Disons que sa mère lui a expliqué crument les choses de la vie question de la traumatiser et l’empêcher de faire quoique se soit hors des liens du mariage. Tout ce que Clara a retenu est : « les hommes plantent leur machin entre les cuisses des femmes et l’agite en grognant comme des bêtes. » Comment une femme peut-elle accepter qu’on lui fasse une chose pareille? Prude, elle rougira comme une tomate à la moindre remarque un peu grivoise. Bref, chanceux sera celui qui pourra l’approcher. Elle devient inconfortable dès qu’un homme s’approche trop d’elle et s’empresse de trouver une raison douteuse pour s’éloigner. Elle défendra farouchement sa vertu même le soir de ses noces… Enfin, c’est ce que Clara prétend. Il existe peut-être un homme qui viendra à bout de ses craintes les plus ancrées.

Comme il fut mentionné plus haut, Clara adore le calme et la sérénité des lieux religieux. Elle a l’impression d’y être en sécurité et que Dieu s’y trouve vraiment. Le silence lui permet de réfléchir et de faire le point. À l’opposé, elle supporte difficilement les caquètements intempestifs des soirées mondaines. Elle s’y soumet, car c’est son destin. Elle est née dans une famille noble et cela apporte son lot de devoirs et de responsabilités. C’est une façon plutôt poétique de voir les choses.

À défaut de trouver une église, Clara ira se perdre dans les jardins. Elle aime le parfum des fleurs et le chant des oiseaux. Si vous la cherchez, allez voir dans les coins reculés des jardins. Vous la trouverez surement assise sur un petit banc, un livre à la main. La ville est un endroit oppressant pour elle à cause des foules d’indigents qui y errent et par les odeurs nauséabondes qui y flottent parfois. En même temps, elle s’émerveillera devant l’architecture des bâtiments. Si vous voulez la rendre heureuse, offrez-lui un chien. Elle trouve les petits chiens mignons, mais elle préfère les gros chiens qui pourront la protéger efficacement en cas de problème. Son père avait toute une meute de chiens de chasse que Clara peut faire obéir au doigt et à l'œil. Une balade à cheval la ravira. Elle monte très bien en amazone, mais dès que les autres ont le dos tourné, elle s’empresse de monter à califourchon, position plus stable et confortable, mais loin d’être distinguée pour une femme, car elle dévoile ses jambes.



 
 
L'histoire de votre personnage


 

De sa tendre enfance, Clara ne se souvient que de très peu de choses. Généralement, quelques souvenirs vont lui revenir en mémoire au hasard, réanimés par une odeur particulière ou un son qu’elle a associé inconsciemment à des évènements de son passé. Par exemple, l’odeur de l’encre ainsi que les grattements d’une plume sur du papier lui rappellent son père. Elle allait parfois s’assoir sur ses genoux quand il rédigeait sa correspondance à son bureau. Clara aimait le voir travailler. Elle était fascinée par les lettres et les mots qu’il traçait même si ça n’avait pas encore de sens pour la fillette. Elle pouvait rester là pendant des heures si son père le lui permettait. Clara se laissait bercer par les battements de son cœur et la façon dont sa poitrine vibrait quand il lui parlait. C’était un moment privilégié qu’elle partageait avec lui. Il lui arrivait même de s’endormir dans ses bras. Elle se réveillait dans son lit, sans savoir comment elle était arrivée jusque-là. C’est son père qui la portait quand ça arrivait. À cette époque, les hommes se montraient généralement distants avec leur progéniture, mais Hendrike aimait profondément ses deux enfants et n’hésitait pas à le montrer. Il trouvait qu’une maison sans enfant était tristement vide. Ironiquement, c’était sa mère qui était la plus distante. Elle a toujours été une femme froide, mais Clara a quand même de bons souvenirs qui la font sourire chaque fois qu’elle y pense. Par exemple, elle ne peut se trouver près d’un feu de foyer sans penser à sa mère qui venait parfois lui brosser les cheveux avant d’aller dormir. Eleanor faisait assoir la fillette sur un pouf et passait lentement la brosse dans sa chevelure ébène. Elle fredonnait parfois une chanson de sorte que Clara finissait par tomber de sommeil. Avec le recul, Clara croit que sa mère n’a été qu’une victime de plus d’un mariage arrangé malheureux. Dans la noblesse, on se marie rarement par amour. Ses parents ne se démontraient jamais d’affection l’un envers l’autre. Ils se supportaient, tout simplement. Il arrive qu’une certaine complicité finisse par se développer avec le temps, mais rien ne semblait indiquer que ça allait dans cette direction jusqu’à ce qu’un évènement malheureux les réunisse.

Clara avait un grand frère, Friedrich qui était d’un an son aîné. Elle n’avait que quatre ans lorsqu’il mourut, emporté par une épidémie de rougeole qui frappa durement la région. Elle se souvient d’un petit garçon animé qui aimait l’embêter en tirant ses cheveux et courir dans les couloirs du château pour échapper à la nourrice. Il était destiné à prendre le titre de leur père. Ce dernier ne cachait pas son admiration envers son garçon, disant à qui voulait bien l’entendre à quel point il était vigoureux et fort, comme lui à son âge. Il deviendra certainement aussi grand et séduisant que lui quand il sera adulte. La vie est tellement précaire à cette époque, surtout pour un enfant… Ça commença par une fièvre. Rapidement, la maladie creusa ses joues rebondies et donna un teint laiteux à sa peau. Puis vint l’éruption cutanée qui fit craindre le pire à tout le monde. On savait que ce mal ne pardonnait pas, surtout aux enfants. Les médecins étaient impuissants, même s’ils s’obstinaient à affirmer le contraire. À cette époque, les seuls remèdes que l’on connaissait étaient d’étranges décoctions de plantes qu’on administrait bien souvent en lavements ainsi que la saignée. On voulait chasser le mal qui empoisonnait le corps et rééquilibrer les humeurs sans réaliser que ces prétendus remèdes affaiblissent les malades plus qu’ils ne les traitaient vraiment. Clara se souvient d’avoir espionné l’un des médecins. Par la porte entrouverte, elle avait vu l’étrange personnage affublé d’un masque pour se protéger des « miasmes », prendre le bras de son frère grelottant de fièvre et faire une petite entaille avec une lame rouillée au creux de son coude. Friedrich avait gémi et protesté faiblement alors qu’un filet de sang s’écoulait de la blessure pour être recueilli avec soin dans une cuvette. Avant de pouvoir en voir plus, sa nounou vint la prendre par le bras pour la reconduire à sa chambre en lui disant que ce n’était pas bien d’espionner les gens ainsi. Son frère était entre de bonnes mains et qu’elle n’avait pas à s’inquiéter… C’est le dernier souvenir qu’elle a de son frère en vie. Le mal l’emporta la nuit suivante. Mue par un drôle de pressentiment, Clara était retournée à la chambre de son frère pour s’assurer que sa nounou avait raison. Du couloir, elle pouvait entendre les sanglots d’une femme et ceux plus discrets d’un homme. Ses parents étaient prostrés de douleur sur le lit de Friedrich. La fillette s’approcha pour les réconforter, ne comprenant pas encore ce qui se passait. Elle se souvient que son père la prit alors dans ses bras et la serra si fort qu’elle crut qu’elle allait étouffer. Ni son père ni sa mère ne voulurent la laisser cette nuit-là. Sa mère n’avait plus rien de la femme distante qu’elle montrait habituellement; Clara ne l’avait jamais vue aussi dévastée. Son père, c’est la seule fois de sa vie qu’elle le vit pleurer. De grosses larmes roulaient sur ses joues et se perdaient dans sa barbe qui commençait tout juste à grisonner. C’est là qu’elle vit son frère couché dans le lit. Il semblait si fragile. Les yeux clos, le visage paisible, on aurait dit qu’il dormait.

Ce tragique évènement marqua son enfance et devait changer à jamais la vie de la jeune fille. Clara était la seule enfant encore en vie. Elle était peut-être une adorable petite fille, mais elle ne pourrait jamais remplacer son frère. La perte du seul héritier mâle mettait en péril la lignée elle-même. Eleanor n’était pas encore trop vieille et pourrait peut-être mettre au monde un autre enfant, mais la vie étant ce qu’elle est. Clara pouvait aussi leur être arrachée. L’épidémie fit d’autres victimes dans la demeure. On porta en terre une dizaine de personnes en tout, dont la nounou des enfants. Clara ne tomba pas malade, mais son père devint extrêmement protecteur envers elle. La fillette avait l’habitude de jouer dans les bois bordant la propriété, mais son univers fut drastiquement réduit à la maison et aux jardins. Elle passa les affres de la petite enfance sans parvenir à oublier la mort de son frère, car tout dans le comportement de ses parents le lui rappelait sans cesse.

Fille de la noblesse, Clara se devait d’avoir une éducation irréprochable et ça passait généralement par le couvent. Elle y fit son entrée à l’âge de six ans avec un groupe de jeunes filles du même âge issues des familles nobles de la région. Elle en connaissait certaines, mais aucune ne lui était vraiment sympathique. Plusieurs la voyaient comme la petite princesse de son papa et étaient jalouses de l’attention qu’elle recevait de sa famille, comme si tout ce qu’elle faisait était digne de mention. Clara était une bonne élève. De nature curieuse, elle aimait apprendre de nouvelles choses. Recevant également l’attention des sœurs du couvent, on la mit rapidement de côté. Clara en était attristée, mais ne comprenait pas ce qu’elle pouvait faire de mal. Elle n’allait certainement pas désobéir aux sœurs pour avoir des amies. Elle aurait trop de problèmes avec sa famille ensuite…

Au couvent, Clara apprit à lire, à écrire ainsi que toutes les petites choses qui devaient faire d’elle plus tard une parfaite femme mariée. Ce devait être son unique but dans la vie : trouver un bon mari et l’aider à tenir la maison. Une femme de la noblesse ne pouvait pas devenir chef de famille et encore moins exercer une profession… Selon l’Église la femme était subordonnée à l’homme et se devait de lui obéir. La vie au couvent n’était pas toujours facile. Les Sœurs sont strictes et ne tolèrent pas l’indiscipline. Les jeunes filles devaient toujours garder le silence et la désobéissance était punie très sévèrement. Plusieurs de ses compagnes n’aimaient pas cet endroit où on leur refusait tout, mais Clara appréciait la tranquillité des lieux. La chapelle était de loin son endroit préféré. Là-bas, elle n’avait jamais l’impression d’être seule, comme si une présence invisible veillait sur elle. Un jour, elle se confia à l’une des Sœurs en demandant s’il pouvait s’agir de son frère décédé. Elle lui répondit que son Friedrich était maintenant au paradis, mais qu’elle pouvait peut-être sentir la présence de Dieu, car ici était sa maison. L’idée que le grand créateur en personne pouvait être près d’elle la réconfortait. Le fait que son frère était au Paradis, un endroit merveilleux selon les Saintes Écritures, permettait à Clara de faire la paix avec sa mort. Il n’était plus avec elle, mais avait rejoint un monde meilleur où elle le retrouvera le moment venu… Elle était encore jeune à cette époque, mais dans son esprit, elle envisageait déjà de vouer sa vie entière à Dieu.

Ce n’est que vers l’âge de 12 ans que Clara eut suffisamment de courage et de certitude pour annoncer la nouvelle. Annoncer qu’elle avait perdu son pucelage avec un garçon d’écurie aurait moins fait scandale. On s’y opposa fermement. Son père ne pouvait pas se permettre de perdre son unique enfant aux mains de l’Église. Eleanor ne lui avait pas donné d’autres enfants et une fausse-couche dans les derniers mois de sa grossesse lui avait laissé une santé défaillante. Il est pourtant bien vu pour une famille d’avoir un moins un de ses membres dans les Ordres, mais la situation actuelle rendait la chose impossible. Au fond, Clara s’y attendait, mais elle était quand même très attristée par ce refus. Elle comprit à ce moment que ce qu’elle désirait faire versus ce qu’elle devait faire n’allait pas toujours de paire. On la retira immédiatement du couvent. À compter de ce jour, Clara devait apprendre à vivre en société, même si cela terrifiait sa famille.

Clara fut introduite à sa première soirée mondaine. On la présenta comme l’héritière de la famille, faisant d’elle un morceau de choix. Oui, c’est l’impression qu’elle avait, être un morceau de viande qu’on jette à une meute de chiens affamés. À cette époque on ne se formalisait guère de marier une jeune fille à un homme pouvant faire 2 fois son âge. Il suffisait qu’il soit d’un bon rang pour qu’on le considère comme un mari potentiel. Heureusement pour Clara, son père avait quelques scrupules à la voir mariée à un homme qui avait le même âge que lui. Elle n’avait donc pas à trop s’inquiéter. Pendant qu’on discutait d’une éventuelle alliance, Clara consacrait son temps libre aux études. Elle apprit le français et l’anglais. La première était la langue officielle dans toutes les cours d’Europe et la seconde avait des affinités avec l’Allemand, la rendant facile à apprendre pour Clara. Élève appliquée, elle apprenait vite et bien. En plus de cela, on l’introduisit à la musique, au chant et à la broderie. Une femme instruite était vue d’un bon œil, pourvu que ses talents ne soient réservés qu’à divertir ses invités lors des réceptions qu’elle donnait. En aucun cas elle ne devait éclipser son époux. Elle devait rester modeste en tout temps…

Parallèlement à tout ça, le corps de Clara subissait aussi de profonds changements. Tranquillement, elle laissait l’enfance derrière elle pour devenir une magnifique jeune femme. Évidemment, ça ne passa pas inaperçu et Clara était gênée par le regard nouveau que lui portaient les hommes de son entourage. Elle n’a jamais aimé attirer l’attention. Clara regrette l’époque où on ne lui jetait qu’un coup d’œil amusé. Maintenant, on l’examine des pieds à la tête comme si on pouvait voir à travers les multiples épaisseurs de sa robe. Heureusement, il y avait un jeune homme qui ne la regardait pas de cette façon. Avec lui, tout était plus simple. Il s’appelait Louis. Gentil et toujours souriant, Clara appréciait sa présence. Cependant, il y avait un problème de taille : Louis était un serviteur. La jeune fille ne voyait aucun mal à fréquenter un serviteur, surtout qu’ils ne faisaient que discuter, l’un et l’autre étant trop timides pour se montrer plus entreprenant. Ils venaient de deux mondes différents et c’est justement ça qui plaisait à Clara. Avec Louis, tout était beaucoup plus simple. Il était son ami… Peut-être un peu plus dans son cœur, car chaque fois qu’elle le voyait sourire, son cœur s’emballait dans sa poitrine. Ils savaient que toute relation était impossible, mais ils ne pouvaient s’empêcher d’y croire quand même. Quand on est adolescent, on a l’impression d’avoir le monde à nos pieds et on veut se rebeller volontiers contre les conventions qui régissent le monde... C’est un manque de prudence qui devait les séparer à jamais, mais aussi ramener Clara dans la réalité. Clara lisait un recueil de poésie française dans le jardin quand Louis vint la rejoindre dans ses habits du dimanche, un bouquet de fleurs à la main. Sans doute s’était-il armé de tout son courage ce matin-là, car c’était la première fois qu’il offrait quelque chose à la jeune fille. Après quelques échanges timides, Louis embrassa chastement la jeune noble sur le coin des lèvres. Aujourd’hui, on ne verrait rien de scandaleux à cela, mais à cette époque… Eleanor fut témoin de la scène. Jamais de sa vie Clara ne la vit aussi fâchée. Elle était dans une rage folle. Le pauvre Louis prit les jambes à son cou et la jeune fille fut sévèrement punie. C’est aussi là que sa mère décida qu’il était temps que sa fille en apprenne un peu plus sur les véritables intentions des hommes. De cette discussion, Clara retint une seule chose : « Les hommes plantent leur machin entre les cuisses des femmes et l’agite en grognant comme des bêtes! » Cette phrase a de quoi frapper l’imaginaire d’une jeune fille mal informée…

Après cet épisode, Clara ne revit plus jamais Louis. Hendrike l’avait chassé du domaine, lui et sa famille malgré les nombreuses années de bons et loyaux services qu’ils avaient donné au Duc. Une erreur de jugement de la part de leur fils leur aura couté la sécurité d’emploi, mais il savait que ce jeune homme serait un élément perturbateur pour sa fille et il ne voulait pas risquer de la compromettre en le laissant rôder dans les parages. La seule valeur d’une fille est sa vertu. Une simple rumeur pouvait la compromettre, voire d’anéantir sa réputation. Est-ce qu’il y avait eu d’autres garçons hormis Louis? Cependant, il réalisa bien vite qu’il n’avait rien à craindre de ce côté. Le petit discours d’Eleanor, qui lui avait été rapporté par ses soins, avait rendu la jeune fille encore plus méfiante envers la gent masculine. Une situation qui arrangeait son père au début devint rapidement un véritable casse-tête. Durant les soirées mondaines, Clara évitait soigneusement de faire la conversation à tout représentant du sexe masculin et si quelqu’un devait se montrer trop insistant, la jeune fille trouvait le premier prétexte pour s’éclipser en vitesse. La timidité avait un son charme, mais quand elle devenait maladive, on ne pouvait plus en dire autant. Maintenant âgée de 18 ans, il n’y avait toujours pas de mariage en vu pour Clara qui ne s’en formalisait pas. Elle n’avait pas oublié son désir d’intégrer les Ordres… Hendrike devait se rendre à l’évidence : pour se marier, Clara devait quitter la sécurité du domaine pour se rendre à la cour. C’est l’occasion pour elle de briller et d’y rencontrer des personnes qui viennent de partout. Quand on le lui annonça, la jeune femme crut qu’elle allait tourner de l’œil. Clara savait que la cour était un endroit impitoyable et que les courtisans qui y vivaient n’hésitaient pas à s’abaisser au pire pour se faire voir des rois et des reines. Pour rester avec sa famille, elle jura de faire un effort et d’être moins effarouchée avec ses prétendants, mais il était trop tard, Clara avait une réputation et elle devait absolument s’éloigner.

En toute logique, Hendrike aurait pu simplement l’envoyer à la cour du Saint-Empire, mais l’empereur ne lui inspirait pas confiance. Il est un homme fort charmant, mais doté d’une poigne de fer capable du meilleur comme du pire. Évidemment, personne n’osera dire cela tout haut, mais c’était l’opinion générale. Il y avait la cour de France, mais il n’aimait pas tellement les Français qu’il trouvait un peu trop chauvins. Si l’on se fiait aux rumeurs, Hendrike risquait d’envoyer sa fille dans un lieu de dépravation. Clara ne parlait de parlait ni l’italien, ni l’espagnol, ni le Russe éliminant d’office ces trois royaumes. Il ne restait plus que l’Angleterre, mais c’était si loin de la maison… Il se souvint alors d’un vieil ami à lui, un certain Frank vivait à la cour. Il pourrait peut-être lui confier Clara et s’assurer qu’elle soit en sécurité pendant qu’elle vivrait là-bas. La perspective de ne pas être complètement seule rendait le voyage moins effrayant, mais elle aurait largement préféré rester avec sa famille.

Quelques mois plus tard, Clara quittait la maison familiale pour entreprendre le plus important voyage de sa vie, mais aussi le plus dangereux. Outre la peur, elle ressentait une pointe d’excitation. Elle a toujours été curieuse et voilà qu’on lui offrait l’occasion de voir le monde. Son instructeur d’anglais lui avait longuement parlé de son royaume et des merveilles qu’il renfermait. Il disait qu’il n’avait rien de plus joli que la campagne anglaise. Clara en doutait un peu, car chaque jour elle voyait le soleil se lever au-dessus de la forêt de Bavière et rien ne pouvait être plus beau que ça. Malheureusement, le périple ne fut pas aussi pittoresque qu’elle l’aurait souhaité. Le voyage était extrêmement long jusqu’à Londres et tout pouvait lui arriver. En plus, elle découvrit qu’elle n’avait pas du tout le pied marin et souffrit d’un atroce mal de mer pendant tout le voyage par bateau. Clara arriva donc à Londres épuisée, quelque peu ébouriffée, mais bien vivante avec la perspective d’une vie nouvelle s’offrant à elle…


 
 
Informations sur vous


 

 
 
 
Votre pseudo: Andraste
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Comment avez vous connu le forum ? J'étais sur l'ancien forum... En faisant le ménage sur mon vieux pc moribond, je suis tombé sur l'ancienne fiche de Clara... Je sais pas trop pourquoi, mais j'ai cherché sur Google, pour voir et je suis tomber sur le nouveau forum. J'ai fais O_o, puis je me suis dis que ça valait le coup d'essayer... Évidemment, je vais faire quelques petites modifications...
Avez vous des questions/suggestions ? Non
Avez vous lu le règlement ?

 
Fiche By DREAMY on YEERAM
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Dernière édition par Clara Von Oberbayern le Sam 14 Sep - 12:04, édité 5 fois
Juliette Chevalier
Juliette Chevalier
 

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Rang: Marquis(e)
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MessageSujet: Re: Clara Von Oberbayern [Terminé] Clara Von Oberbayern [Terminé] EmptyJeu 12 Sep - 7:34
Bonjour demoiselle Clara,

Soyez à nouveau la bienvenue sur cette nouvelle version alors. Vous avez aussi là un avatar fort joli.
Mais en attendant je vous souhaite une bonne continuation pour la suite de votre fiche.

Bien à vous.
Arthur Ashford
Arthur Ashford

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Localisation : Quelque part entre le bien et le mal.

Qui suis-je ?
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MessageSujet: Re: Clara Von Oberbayern [Terminé] Clara Von Oberbayern [Terminé] EmptyJeu 12 Sep - 10:24
Ca alors Clara !

Même trois ans après nous te retrouvons ! J'espère que beaucoup d'autres anciens suivront !

Au plaisir de se croiser, et bon courage pour ta fiche !
Rosa Michaelis
Rosa Michaelis

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MessageSujet: Re: Clara Von Oberbayern [Terminé] Clara Von Oberbayern [Terminé] EmptyJeu 12 Sep - 12:08
Bienvenue et bon courage pour la fiche !
Clara Von Oberbayern
Clara Von Oberbayern

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MessageSujet: Re: Clara Von Oberbayern [Terminé] Clara Von Oberbayern [Terminé] EmptyVen 13 Sep - 1:19
Merci!

Eh bien, c'est terminé! Bonne lecture! Laughing 
Zaccaria Di Ruffo
Zaccaria Di Ruffo

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Qui suis-je ?
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MessageSujet: Re: Clara Von Oberbayern [Terminé] Clara Von Oberbayern [Terminé] EmptyVen 13 Sep - 7:31
Clara! Quelle surprise! C'est Philippe/Esteban à l'appareil!
Élise de Constance
Élise de Constance

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MessageSujet: Re: Clara Von Oberbayern [Terminé] Clara Von Oberbayern [Terminé] EmptyVen 13 Sep - 14:50

Euh.. Un p'tit soucis !


Pour commencer je te souhaite la bienvenue sur His majesty !

Donc j'ai bien lu attentivement ta présentation et malheureusement je ne peux pas te valider en tant que Duchesse car, les fiches sont classées selon certains critères et celui de Duchesse est trop élevé. Ce pourquoi je te propose le rang de Marquise, et donc de le modifier dans ta fiche. Ensuite je trouve la fin de ton histoire écrite à la va vite, ce pourquoi j'aimerai que tu y ajoutes quelques informations supplémentaires comme par exemple : pourquoi la France ? Ou va-t-elle vivre ? Etc... Bref tous pleins de petits détails important. Une fois cela fait je te validerai !

Bon courage ~


Clara Von Oberbayern [Terminé] B_full11
Clara Von Oberbayern
Clara Von Oberbayern

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MessageSujet: Re: Clara Von Oberbayern [Terminé] Clara Von Oberbayern [Terminé] EmptySam 14 Sep - 13:09
J'ai refais l'histoire de Clara au complet. Effectivement, elle n'était pas aussi bien qu'elle aurait pu, mais je crois que cette fois, c'est la bonne. Aussi, j'étais Duchesse sur l'ancienne version du forum, alors je me permet de tenter le coup, encore Rolling Eyes 

En espérant satisfaire aux exigences cette fois !
Élise de Constance
Élise de Constance

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Qui suis-je ?
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MessageSujet: Re: Clara Von Oberbayern [Terminé] Clara Von Oberbayern [Terminé] EmptySam 14 Sep - 14:12

Je valide !


Comme l'indique l'intitulé, tu es validé(e) !
A présent je t'invite à aller recenser ton Avatar, afin de préserver ton personnage. Ensuite, afin de commencer ton histoire à nos côtés je te laisse aller jeter un coup d'oeil aux demandes de Rp's. Et enfin, pourquoi pas créer ta fiche de liens, afin que nous soyons tous au courant de tes relations et Rp's !

Bonne continuation sur His Majesty !

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