 |  Sujet: Eleonora, Espagnole indomptable.(Terminée.) Ven 6 Sep - 6:59 | |
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citation ou une phrase au choix    NOM - PRENOM Carte d'identité 
♔ Nom (s):Lorca Medina
♔ Prénom (s):Eleonora
♔ Age:Vingt-trois années.
♔ Nationalité:Espagnole
♔ Rang souhaité:Marquise
♔ Nation représentée:Le Royaume d'Espagne.
♔ Parrain: Arthur Ashford.
Physique
Si vous questionnez un homme ayant connu Eleonora, sur son apparence physique, c’est avec un air rêveur, nostalgique, et non dénué de désir qu’il vous répondra qu’à la naissance les astres l’ont pourvue d’une peau belle et douce, blanche l’hiver et délicieusement dorée lorsque le soleil l’effleure de ses sensuelles caresses. Le même astre diurne qui révèle, dans sa longue chevelure noire, des reflets violets, de la même couleur que son regard, qui est envoûtant, hypnotisant. Il faut dire que ce n’est pas, en Espagne, une couleur bien courante pour des yeux.
Sa poitrine, ses cuisses, ses hanches et ses fesses sont, pour les yeux, un régal divin. Ses courbes sont généreuses, bien galbées et très fermes, faisant d’elle, lorsque elle se déplace, l’incarnation même de la sensualité. Son visage ressemble à celui d’un ange et on lui donnerait le bon Dieu sans confession, ce qui serait une grande erreur.
Elle doit être la seule personne au monde à savoir qu’entre ses deux seins, généreux mais point trop s’en faut, se dissimulent six grains de beauté qui forment, étrange hasard, un croissant de lune.
Quelle taille peut-être bien faire ? Peut-être un bon mètre soixante-quinze. Oui, c’est, pour une femme, une créature assez grande, ce qui n’en est que plus délicieux, puisqu’elle possède de très longues jambes.
Eleanora sait qu’elle est belle, elle en use et en abuse avec plaisir, aimant, grâce aux artifices féminins, à sublimer sa beauté, avec un instinct et un goût particulièrement sûr. Jamais vous ne la verrez autrement dans une tenue lui allant à merveille, dévoilant ses formes, sans trop en montrer, suscitant le désir et la jalousie, ainsi que l’envie.
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Caractère
S’il suffisait d’un seul mot pour définir une personne, alors l’adjectif qui conviendrait le mieux à Eleanora serait « paradoxal ».
De prime abord, cette femme, très intelligente, à l’esprit critique, est réservée et hautaine, froide et distante. Cependant, sous ses aspects méprisants, se cache une femme totalement différente, pleine de surprises, mais, pour le découvrir, il faut percer sa carapace, ce qui n’est point aisé. Si, toutefois, vous y parveniez, alors vous feriez la connaissance d’une femme dont l’esprit de contradiction tient tout autant de la conviction que de son côté joueur et provocateur. Car elle est provocatrice, elle aime les joutes verbales auxquelles elle se livre avec grand plaisir, son intelligence et son sens de la répartie faisant d’elle une redoutable adversaire.
Elle est parfaitement consciente de sa beauté, elle est sûre d’elle et aime à éveiller chez les hommes le désir et l’émerveillement, tout en, avec sa langue acérée, ses propos vitriolés, ne leur laissant aucun espoir de la conquérir. Pourtant, se cache au fond de son cœur une petite flamme, un espoir secret de trouver la personne qui saura la conquérir, corps et âme.
Son corps, si elle en prend grand soin, elle ne l’abandonne pas souvent aux plaisirs de la chaire, qu’elle apprécie pourtant, triant sévèrement, sur le volet, et sans état d’âmes aucun, les personnes ayant l’insigne honneur de pouvoir la toucher. Ainsi pense-t-elle.
Si ses phrases sont toujours bien tournées, il n’en demeure pas moins qu’Eleanora est souvent, très souvent, pour ne pas dire presque toujours, sarcastique, ironique, mordante et dotée d'une très, trop, grande franchise. C’est une forte tête, une femme qui sait ce qu’elle veut, que faire pour l’obtenir, qui ne baisse jamais les bras et qui est très têtue. Rien ne saurait la faire flancher, et elle ne s’en laisse imposer par personne. Elle déteste recevoir des ordres et n’obéit qu’à contrecœur, et seulement lorsqu’elle ne peut absolument pas faire autrement.
Il se peut, bien sûr, qu’elle cache d’autres aspects, comme le fait qu’elle soit rêveuse, mais pour le découvrir, il vous faudra de la patience, beaucoup de patience.
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L'histoire de votre personnage
Notre histoire commence lors d’une nuit de pleine lune, dans un château en Espagne, non loin de Gérone. Tout était calme, endormi et paisible. Tout ? Non point. Cette nuit de décembre, particulièrement froid, était le théâtre d’un petit évènement, dans une chambre reculée du château, d’où s’élevaient des cris. L’épouse du maître et seigneur du château, le comte Federico Lorca, la jeune et belle comtesse Isabella Medina, mettait au monde leur premier enfant, ensemble, le comte ayant déjà six enfants mâles, nés de trois précédents unions. L’enfantement avait débuté dès que l’astre nocturne eut atteint son apogée dans le ciel. Il fallut à Isabella pas moins de trois heures dans la douleur pour mettre au monde une fille que Federico et elle-même nommèrent Eleanora.
Ses six frères aînés, loin d’être jaloux de cette nouvelle venue, furent immédiatement sous le charme du seul enfant femelle de leur père, et, quand elle en fut en âge, l’inclurent dans leurs jeux d’enfants, plus ou moins âgés, l’aîné de la fratrie ayant, quand même, atteint l’âge du mariage, à savoir, pour son cas, les quinze ans. Très vite, ils prirent l’habitude de la traiter, non pas comme une fille, mais bel et bien comme un garçon qu’ils nommèrent « Leonardo. » Coiffée à la garçonne, vêtue à la garçonne, arriva le moment où la petite Eleanora ne se souvenait point de faire partie du sexe féminin, ses parents s’étant, étrangement, pris au jeu de ce travestissement. Elle reçut ainsi la même éducation que ses frères, dont elle était très proche. Sa mère, avec qui elle avait, aussi, un lien très fort, n’en oubliait pas moins de lui apprendre ce que se devait de savoir une femme de cette époque et de son rang. Elle apprit à lire, écrire, manier l’épée, se battre, coudre etc. Une enfance heureuse, jusqu’au jour de ses dix ans où tout bascula. Sa mère, enceinte de son deuxième enfant, contracta une maladie qui l’emporta, ainsi que son enfant à naître, au bout de deux mois.
Dans le jeune esprit d’Eleanora, se fit une, étrange, connexion : enfantement, maladie et mort étaient étroitement lié, tant et si bien qu’elle se jura de ne jamais en porter en elle, peu importe ce que pourraient les autres en penser. Après le décès de sa mère, son père, qui voyageait beaucoup, l’emmena avec lui durant ses voyages et elle put ainsi, continuant à se faire passer, tout naturellement, pour un garçon, apprendre quelques langues. Peu à peu, elle retrouva son insouciance d’avant, pour une courte durée.
Après être entrée en sa douzième année d’existence, Dame Nature lui envoya sa lune rouge, pour lui rappeler qu’elle était une femme et que son corps était fait pour enfanter. Paniquée, elle s’efforça de cacher cet état de fait aux gens l’entourant, prenant toujours grand soin de se retrouver seule dans les moments les plus nécessaires, mais arriva le jour où elle ne put dissimuler que, sous ses vêtements, une poitrine féminine avait pris forme. D’agréables formes.
« Leonardo » redevint Eleanora, obligée de se vêtir, de se parée et de se laisser pousser les cheveux comme une femme. Si, au début, la chose l’incommoda fort, son père lui ayant fait interdiction de se battre avec ses frères, comme autrefois, lorsqu’elle eut l’âge de quatorze ans, elle se découvrit, à sa plus grande surprise, à aimer les regards flatteurs, troublés et pleins de désirs que les hommes posaient sur elle. Elle se prit au jeu de la beauté et de la séduction, sans se douter un instant que ce faisant, elle éveillant en un homme âgé d’une cinquantaine d’années, un vieillard, un amour malsain, et un désir profond. Veuf depuis peu, la rumeur courrait qu’il aurait assassiné sa dernière épouse, la cinquième, excusez du peu, il était, financièrement et socialement, un excellent parti. Excellent parti qui avait jeté son dévolu sur la seule donzelle aux alentours qui n’éprouvait aucunement le désir d’épouser homme si influent ou de lui donner une quelconque descendance.
Don Pedro Tenorio fit sa demande au comte Lorca qui ne tarda guère à sceller avec lui une promesse d’épousailles pour les mois suivant, au grand désespoir d’Eleanora. Ses frères, entre-temps, avaient tous pris épouse, sauf l’aîné qui avait décidé de consacrer sa vie à Dieu. Deux d’entre eux avaient épousé, respectivement, une anglaise et une française.
Après moult disputes avec Federico, ils décidèrent de donner de l’argent à Eleanora et de la faire quitter, en secret, de nuit, le château de leur père, ainsi que l’Espagne pour qu’elle se cache dans la famille de ses belles-sœurs. Elle passa deux années auprès d’une tante de Louise, l’épouse française de l’un de ses frères, se perfectionnant en français, devenant de plus en plus indépendante et sûre d’elle.
Alors qu’elle s’apprêtait à embarquer pour l’Angleterre, une missive lui apprit le décès de son père, ainsi que ses funérailles auxquelles elle ne put, malheureusement assistées. Lors de son retour en Espagne, elle eut la surprise de découvrir que son défunt père, qui perdit la vie lors d’un accident de chasse, lui avait laissé une grande part de sa fortune, en or, et que de sa mère lui revenaient des biens, des bijoux et de l’or.
Immensément riche, elle décida de partager sa vie entre son pays natal et ses voyages. Et de partir, comme convenu, découvrir l’Angleterre.
Informations sur vous
♔Votre pseudo: Plume.
♔ Votre âge: Bientôt Vingt-quatre ans.
♔ Comment avez vous connu le forum ? Sur l'invitation du grand roi Arthur !
♔ Avez vous des questions/suggestions ? Je supprimerais les fiches de présentations! /je plaisante!
♔ Avez vous lu le règlement ?
Fiche By DREAMY on YEERAMMerci de respecter notre travail
Dernière édition par Eleonora Lorca Medina le Dim 8 Sep - 12:50, édité 13 fois |
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